Boire un café le matin traquille [Juliet Fridman]

Il devait être 8 h du mat. Je ne voulais pas aller à l'école avec Lucy donc je décida d'y aller de mon coté. Je m'étais levé plutot puisque je n'arrivais pas à dormir depuis un certain temps. D'ailleur ça se voyais quand je n'étais pas maquillé. Heureusement j'ai tout dans une petite trousse. Je trouva ma tenue tres vite, c'était un miracle d'ailleur. Je pris une robe rouge avec des ballerine noir. Apres avoir choisis un sac et des boucle d'oreilles, je mis les affaire que j'avais bsoin pour les cour de la journée : un plumier, un bloc, mon journal et certains cahier. Je pris ma farde dans mes bras. Je descendis, dis boujours a tout le monde et me depecha de filer. Je voulai boir un café en chemin car il est bien meilleur que celui de la maison. J'entra dans le Delight Café et me commanda :

Je voudrais un café au lait à emporter s'il vous plait.

En patientant j'éssayais de réviser un peu mais ma farde tomba et tout s'éparpilla. Je me baissa et commanca a ramasser et lachant des jurant.

Comment m'étais-je retrouvée si tôt en dehors de mon lit? C'est une question que je me posais encore. J'essayai d'y répondre... Ce devait être la faute de ce rêve. Celui-la même où mon secret était découvert. C'était horrible. tout le monde me pointai du doigt, les chuchotis n'arrêtaient pas sur mon passage, mes meilleurs amis eux-même s'y mettaient. Et tout, absolument tout était différent. Je m'étais réveillée en transe, couverte de sueurs. Puis, je m'étais levée, avais choisis mes vêtements et étais entrée dans ma salle de bain.
L'eau chaude avait chassé le rêve et la musique qui était diffusée automatiquement quand j'entrais dans la pièce m'avais changé les idées. Rien de tel qu'un bon vieux rock, moi je vous le dit!
Je ne portais rien de bien compliqué, une jean et une blouse rouge. J'avalai un truc en vitesse et me dirigeai vers le garage. June dormait encore et je ne savais pas quoi faire. J'avais la bougeotte, il fallait que je sorte.

Le plus dur, ce fut de choisir la voiture. Pour finir, j'optai pour la Porsche carrera GT orange. Je fis un tour de la ville avant d'opter pour le delight cofee. On m'avait dit que ce qu'on y buvait était très bon, mais je n'avais pas encore eu l'occasion de gouter quoi que ce soit. L'endroit était tout petit, tout cosy, tout convivial, tout mignon. Je l'aimais instantanément.

J'étais à peine arrivée au comptoir que la fille qui me précédait, plutôt petite avec des cheveux blonds en bataille et une chouette robe laissa tomber sa farde. Les feuilles partirent aux quatre coins du café. Je me baissai pour les ramasser et lui donner un coup de main.

- Salut. Moi, c'est Juliet.

Je lui tendis la dizaine de page que j'avais en main.

- Je pense que c'est à toi.

Les feuille de 5 cours venait de se mélanger et je ne savais absolument pas quand j'aurais le temps de les ranger. Jamais je serai a l'heure a l'école si je commencais maintenant. Tout le monde me regardais faire mais personne ne venait m'aider. Quelques jeunes rigolaient et je leur fis un vif regard noir et j'alla chercher mes feuille un peu plus loin. Une jeune fille surment plus vieille que moi se baissa et rammassa mes feuilles. Enfin quelqu'un qui voulait bien m'aider. Je leva la tete, lui souris et ramassa encore deux trois feuilles un peu plus loin. Je cherchais le cours qui m'avait donné ses feuille. Je conclu que c'était pour histoire. Jamais en Francais on ne m'aurait donner une dissertation sur ce theme. La jeune fille se présenta. Elle s'appellait Juliet. Elle me tendit un dizaine de pages. Je fis plus attention à elle. Elle portait simplement un jean et une blouse rouge.

Salut, je m'appele Elizabeth. Merci pour les feuilles.

Je fini de mettre le tas de feuille dans le classeur meme si il n'était pas bien ranger. Je pestais. Je detestais que mon cour soit en désordre. Je n'allais pas encore retrouver mes feuilles et le prof allait faire une remarque sur le faite que mes cours se soit mélangé. Je ferma ma farde et mme releva. Mon café etait pret mais froid. Je recommenda un et fouilla dans mon sac pour trouver mon porte feuille. Je trouva un billet de 5 qui ferait l'affaire. Je recu mon café chaud. Je bu d'abort le froid. Meme si je ne les aimais pas comme ça, ils avait quand meme de la cafeine qui me ferait tenir debout.

La fille, qui apparemment s'appelait Elizabeth, me remercia. Je lui souris. Ça ne devait vraiment pas être son jour de chance! La pauvre. Elle avait les yeux tout cernés et semblait avoir du mal à tenir debout. Elle se redressa et s'approcha du comptoir. Je la suivis. Après tout, qu'avais-je d'autre à faire? Je n'avais pas encore petit déjeuné et je commençais à avoir faim. Je m'installai à coté d'elle tandis qu'elle commandait un café. Le serveur se tourna alors vers moi, m'interrogeant sur ma commande. Heuuuu... Qu'est ce que j'en savais moi? Cette nuit, Amanda était allée dormir chez son père et pourtant, j'avais encore plus mal dormi que les nuits précédentes. Personne ne m'avait prévenu qu'il serait si difficile de s'occuper d'un enfant. Mindy ne faisait pas encore ses nuits et passait son temps à pleurer. J'aurais très bien pu envoyer Marie-Louise à chacun de ses caprices, mais ça reviendrait à laisser tomber; à laisser ceux qui travaillaient pour nous s'occuper de mon enfant. Et ça, je ne pouvais pas l'accepter. J'avais grandis loin de mon père, sillonant le monde. Ma mère ne m'avait pas vraiment élevée, trop occupée qu'elle était par son travail. Je la comprenais en fait. Son job était vraiment passionant. Mais si elle avait pu remarquer à l'époque que June et moi, on était là. On ne demandait pas grand chose, juste un peu d'amour. Alors, j'étais devenue ce que je suis. Me réfugiant dans la musique, parlant avec des inconnus, liant d'amitié avec tout le monde pour compenser le manque d'amour de mes parents. Surtout de mon père que je ne voyais qu'à de rares occasions. Quand il ne travaillait pas à Toronto ou à Madrid. Enfin bref. Parlons d'autre chose. Ce genre de sujets me donnent le cafard, pas vous?

- Un cappucino s'il vous plait.

Je me tournai vers la fille. C'était bizarre, mais elle me rapellait quelqu'un. L'avais-je déjà vue quelque part? On était sûrement dans la même école, mais je ne pense pas qu'il s'agissait de ça. Je songeai à James. Ces derniers temps, j'avais du mal à faire le point sur notre relation. Amour ou Haine? Pouvais-je lui pardonner ce qu'il avait fait? D'un autre coté, je n'imaginais plus la vie sans Mindy. Comment avais-je pu vivre sans elle? J'avais une envie folle de la serrer dans mes bras.

- Diis, je vais sûrement te sembler bizarre, mais tu ne connaitrais pas un certain James McCallen?

La jeune femme était restée près de moi. Elle commanda un cappucino. Elle me regardait pas en me scrutant mais elle me regardais quand même. Je regarda ma montre et vis que j'avais encore un peu de temps. Enfin encore 20 minutes avant la sonnerie mais il faut 5 minutes pour y aller. Je pris mon gsm et envoya un sms à Jill pour dire que j'arriverai juste à la sonnerie, qu'elle ne s'inquiète pas.

Je fini mon café et regarda la jeune femme. Je me souvins de son prénom, Juliet. ca me dis quelque chose mais pas le visage. C'est possible que mes parents m'en ai parler mais je ne m'en souviens plus. J'écoute rarement ce que dise mes parents surtout quand ils parlent sur le dos des gens. Ca à le don de m'énerver. La jeune femme, Juliet, me posa enfin une question. Elle parlait de mon frère. C'est peut être lui qui m'en à parler mais ca doit faire des lustres, non ? Je ne sais même plus quand je l'ai vu pour la dernière fois.

Oui, c'est mon frère. Tu le connais ?

Je m'interrogeais vraiment, qui était cette fille qui connaissait mon frère et qui avait aussi l'air de me connaître. Je me retourna vers une table et pris ma farde.

Je voudrais ranger mes feuilles, ca te dérange de m'accompagner jusqu'à la table ?

A la corbeille ou vous continuez? =)

Moi je veux bien le continuez faut demande a Juliet

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